Équipé depuis 6 ans d’un robot de lavage Washpower, David Crosnier (éleveur dans l’ouest de la France) témoigne des performances et du gain de temps apportés par son équipement.

Chez Washpower, nous savons qu’investir dans un robot de lavage ne se limite pas à l’achat de la machine – c’est avant tout la valeur qu’il apporte au quotidien dans les bâtiments d’élevage. C’est pourquoi nous accordons une grande importance au service après-vente, avec plus de 300 robots actuellement en fonctionnement en France.
Lorsqu’un de nos techniciens, Pierre, s’est rendu chez un client dans l’ouest de la France pour effectuer un contrôle de routine et remplacer un tuyau sur le robot, il a également eu l’occasion d’échanger avec le propriétaire de l’élevage, David Crosnier (à droite). Cela nous a permis d’obtenir un précieux retour sur la manière dont le robot a transformé le travail quotidien – non seulement en termes de gain de temps, mais aussi d’hygiène et de satisfaction au travail.
L’éleveur utilise son robot Washpower depuis 2019, aussi bien en post-sevrage qu’en engraissement, avec des résultats très clairs. À l’origine, le choix d’investir dans un robot visait à gagner du temps et à soulager les employés du lavage manuel. Six ans plus tard, on peut dire que ce choix a eu un impact majeur. Le robot est utilisé quotidiennement et a complètement changé l’approche du nettoyage.
“Nous avons choisi ce robot plutôt qu’un autre principalement pour sa simplicité. Nos salles sont assez uniformes, donc une fois le programme initialement configuré, on n’a plus besoin d’y toucher. Il est facile à utiliser,” explique David Crosnier, éleveur.
Ce n’est pas seulement la charge de travail qui a diminué : la qualité du nettoyage s’est aussi nettement améliorée. Le robot prend en charge la majeure partie du processus, ne laissant qu’un rinçage léger à effectuer.
L’éleveur explique qu’en post-sevrage en particulier, les économies de temps sont considérables. Le robot lave pendant la nuit, et le personnel n’a plus qu’à finaliser le travail le matin. C’est pareil en engraissement, même dans les cases profondes. Le robot reprend à lui seul près de 70 % de la charge de travail.
Un autre avantage est la flexibilité qu’apporte le robot à l’organisation du travail. Avant, il fallait deux personnes pour nettoyer certaines sections. Aujourd’hui, une seule personne suffit, le robot prenant de l’avance et réalisant la plus grande partie du travail.
Cela améliore non seulement l’efficacité, mais libère aussi du temps pour d’autres tâches sur l’exploitation.
“On l’utilise principalement avec le pré-trempage dans certaines zones, pour gagner du temps. Avant, il fallait deux personnes pour laver ; maintenant une seule suffit”, explique David Crosnier, éleveur.
Ce que l’éleveur apprécie particulièrement, c’est la facilité d’utilisation du robot au quotidien. Une fois les programmes configurés, il fonctionne quasiment de manière autonome, ce qui est parfait pour son exploitation, car les bâtiments sont assez similaires.
Le robot ne nécessite pas de réglages constants ni de compétences techniques particulières pour être utilisé. Dans une exploitation où les tâches sont nombreuses et le personnel varié, c’est un vrai plus d’avoir une machine intuitive et fiable.